Certains connaissent mon sentiment pour le sommeil : Le plaisir de se glisser sous la couette, de sentir le drap enveloppé jusqu’à mon dernier doigt de pied, de remarquer l’oreiller capituler sous ma tête lourde… C’est là que tout se passe, je crois !
Les détails prennent vie et se libèrent des contraintes. Ils s’imbriquent, s’emboîtent, dansent et racontent une histoire. Mon crayon à portée de main, les croquis s’affichent sur le papier…
Je m’endors à nouveau.